Le Faré de Babel, c’est reparti !
Avec une magnifique danse tahitienne au son du toere, Alysson et Maka on ouvert les festivités du Faré de Babel 2016.
Quelques poèmes de Prévert, de Nicolas Kurtovitch et Déwé Gorodé ont ensuite résonné dans notre cour.
Demain on repart avec du nengone, du dancehall et de la poésie.
Mardi, comme prévu, de Maré à New York en passant par Beaudelaire.
Mercredi matin, les Nouvelles Calédoniennes publient un article sur le Faré de Babel :
Jeudi, la chorale de seconde adaptée, avec les intervenants en chant du Conservatoire de la Nouvelle-Calédonie ont interprété des « Ae ae » et d’aurtes chants de Grande Terre.
Malheureusement, le groupe de ajië n’a pas pu se réunir comme prévu, mais ce n’est que partie remise.
Nous avons eu droit à la place aux stances du Cid, ce jeune homme pris dans un dilemme terrible, devant choisir entre la défense de l’honneur de sa famille (son père a été humilié) et l’amour qu’il porte à sa promise, Chimène, dont le père n’est autre que l’offenseur.
Bonne continuation Do Kamo, une grosse pensée depuis Paris.
PS: Pour les tables de Ping Pong, c’est une très bonne idée.
Hmana