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Nouvelles et contes, la seconde adaptée vous invite aux voyages

Seconde adaptée

Seconde adaptée

La classe de seconde adaptée a le plaisir de vous faire découvrir le résultat de leur projet littéraire dans le cadre d’un atelier d’écriture consacré à la rédaction de contes et de nouvelles. Les élèves vous emmèneront dans des contrées lointaines ou proches, au gré de récits fantastiques ou réalistes.

Le paradis

Il faisait toujours beau dans ce magnifique endroit, personne ne connaissait ce coin lumineux avec toutes ses fleurs de différentes couleurs et toutes sortes de fruits. Elisa une petite fille de 7 ans passait des heures et des heures dans cet endroit. Elle aimait beaucoup ce lieu qu’elle appelait « le paradis », c’était à quelques kilomètres de sa maison. Elle vivait avec sa mère qui ignorait qu’elle passait du temps à l’extérieur de la maison car elle s’enfuyait par la fenêtre de sa chambre. Elisa n’avait jamais connu son père, auquel elle rêvait pourtant toute la journée. Quand elle demandait à sa mère si elle pouvait voir son père, sa mère lui disait : « Ma chérie, ma petite fille, ton père n’est pas loin, il est près de toi ». La petite se mettait toujours à sangloter et se réfugiait dans son paradis. Arrivée dans son lieu paradisiaque elle s’asseyait derrière un arbre et pleurait. Tout à coup, la petite fille entendit deux voix qui se disputaient, c’étaient des voix d’une femme et d’un homme, elle avait cru entendre la voix de sa mère qui disait : « Tu ne la verras jamais ! » avec un ton sévère. Elisa n’avait jamais entendu sa mère parler avec un ton pareil ; quand elle se rapprocha, elle vit un bel homme aux yeux bleus, grand, elle ressentait une forte émotion. Elle se rapprochait encore et c’est là que l’homme lui sourit, sa mère étant de dos ne savait pas que sa fille la regardait. Quand l’homme voulut dire quelque chose en la voyant, la maman le frappa de plusieurs coups de pelle au visage. L’homme tomba par terre le visage recouvert de sang. La petite, qui était effrayée, courut se cacher derrière un arbre, elle voyait tout ce que sa mère faisait. Sa mère creusa un trou avec la pelle, roula le corps de l’homme jusqu’au trou et l’enterra. La petite retourna à la maison en courant, elle pleurait, elle s’enferma dans sa chambre. Elle ne parlait plus à sa mère qui cherchait ce qu’elle avait, la petite était en état de choc, elle ne mangeait plus rien. Un matin pendant qu’Elisa dormait, sa mère alla dans le grand jardin pour cueillir des fruits, elle pensait toujours à l’énorme bêtise qu’elle avait faite, elle avait peur mais alla quand-même voir l’endroit. Elle aperçut une rose posée sur la tombe qu’on arrivait toujours à apercevoir, une rose qui était toute fraîche, c’est là qu’elle a compris que sa fille savait tout, car elles habitaient seules au milieu de nulle part. La maman courût jusqu’à la maison, se précipita dans la chambre de sa petite fille qui était fermée à clef, elle criait « Elisa ma petite fille, ouvre-moi s’il te plait ma chérie ! ». Elle criait, criait mais la petite ne lui ouvrait pas la porte. Sa mère s’inquiétait, elle fit le tour de la maison, et vit la fenêtre de sa fille ouverte et ses claquettes dessous. Quand elle alla voir, elle vit sa fille allongée sur le lit. Elle sauta par la fenêtre pour la réveiller, mais lorsqu’elle toucha les mains de sa fille, elles étaient froides, c’était trop tard, la petite Elisa était décédée.

Marie-Thérèse

 

Le portefeuille

C’était une fille de 17 ans, elle vivait dans une ile de la Calédonie, Ouvéa. Cette fille était charmante, belle, gentille, et timide. On aurait dit une princesse. Elle avait fait ses études à l’étranger, c’était une brillante. Tout le monde dans sa tribu l’admirait. Netesh était chrétienne, elle ne sortait presque jamais de chez elle, elle gardait sa grand-mère et priait chez elle, elle était à fond dans la prière, on aurait dit aussi une sœur. Un jour sa grand-mère l’envoya acheter du riz au magasin de leur tribu. Celui-ci était fermé. Elle ne savait pas quoi faire car d’habitude c’est son frère qui partait faire les courses. Netesh décida d’aller au Nord de l’ile pour trouver un autre magasin. Elle arrive ainsi devant le Bunaca ou elle rencontra des personnes qu’elle n’avait jamais vues. Elle avança devant la caisse et croisa le regard du caissier. Celui-ci la regardait fixement avec des yeux amoureux. Ce caissier avait le même âge qu’elle, c’était un stagiaire. La jeune fille ne pouvait soutenir le regard du jeune garçon, elle ne pensait pas aux petits amis. Tout ce qui comptait pour elle c’était sa grand-mère et la prière avant tout. Le jeune garçon se nommait Alek. Netesh sortit du magasin et voila qu’Alek sort à son tour. I l courut vers la jeune fille. Elle était en train de tomber sous le charme, mais qu’elle avait honte ! Elle pensa à ce que sa grand-mère lui avait dit, ne pas avoir un copain avant d’être majeure. Elle avançait tout droit dans la voiture et démarra. Le jeune caissier était si triste de la voir partir. Il rentra dans le magasin les mains croisées, le dos courbé et il était perdu dans ses pensées, il pensait toujours a la jeune fille. Il s’assit sur la chaise et aperçut un porte feuille. Il le ramassa et l’ouvrit pour savoir à qui appartenait. Il constata qu’il y avait un permis de conduire, une carte bancaire, une pièce d’identité et vit que c’était la jeune fille qu’il avait croisée. Soudai il sentit que son cœur était heureux car il savait qu’il allait le lui rendre. Netesh arriva chez elle mit les courses sur la table, et sa grand-mère lui demanda pourquoi elle aurait mit tant de temps. Elle disait tout à sa grand-mère mais pas qu’elle rencontré un garçon. Elle quitta sa mamie et rentra dans sa chambre. Elle constata que son porte monnaie n’était pas avec elle. Elle sentait un poids lourd dans son cœur, elle avait besoin d’une personne pour parler de ce qu’elle avait vécu. Elle priait dans sa chambre, ne sortait plus, elle se sentait seule. Un beau matin la jeune fille se réveilla et alla prendre une bonne douche. Elle sortit de la douche et entendit des voix dehors. Elle allait pour préparer le thé et s’étonna de voir Alek qui lui faisait un grand sourire. Elle était mal à l’aise car il y avait sa mamie. Elle lui demanda ce qu’il faisait chez-elle. Il lui répondit qu’il venait lui rendre son porte monnaie. Elle s’étonna, elle le prit et alla le ranger dans sa chambre. Elle ressortit et vit le jeune garçon qui demandait sa main à sa grand-mère. Elle s’étonna et la peur la paralysa pendant un moment. Sa grand-mère la regarda et lui fit un grand sourire. Le garçon attendait impatiemment la réponse de sa grand-mère qui, elle, était contente de cette proposition. Elle dit que jamais un garçon n’était rentré dans sa maison pour demander la main de sa petite fille. Elle trouva ça très poli. La jeune fille, étonnée, resta bouche-bée. Alek lui demanda sa réponse, elle regarda tout d’abord sa grand-mère qui fit un mouvement des yeux. Et elle se mit alors à sourire et dit : oui. Finalement quelle chance d’avoir perdu ce porte monnaie. Tout est bien qui finit bien.

Erkal

 

L’ogre

Il était une fois un petit garçon, gentil est très obéissant qui s’appelait Yoyo, il vivait avec sa grand-mère qui se nommait Otylan , tous deux vivaient tout en haut d’un arbre, là où personne ne pouvait les voir, dans la forêt. Ils vivaient très heureux dans leur petite cabane. Or dans cette forêt là, il y avait un ogre, qui mangeait les personnes âgées. C’était étrange mais il semblait préférer la chair des vieux à celle des jeunes .Peut-être avait-elle meilleur goût ? Un jour Otylan se précipite pour aller chercher de la nourriture à la mer, et elle dit à Yoyo : « Si l’ogre me demande, dis lui que je suis au Sud », alors qu’elle partait pour le Nord, et elle partit pour 3 jours vers le Sud. Peu après l’ogre survient et interroge Yoyo, « Où est ta grand-mère, » Yoyo mentit à l’ogre et l’ogre repartit aussitôt. Le lendemain encore Otylan dit à Yoyo : « Si l’ogre revient me chercher, tu lui dis que je suis au Nord » alors quelle partait cette fois si pour le Sud, et elle se mit en route. Peu de temps après l’ogre apparaît et dit à Yoyo « Tu m’as menti petit Yoyo, tu ne veux pas que je te mange à la place de ta grand-mère ? »Et Yoyo répondit : « non », « Alors où est-elle partie ?» « Elle est partie au Nord », et l’ogre répondit : « Si tu me mens encore je reviendrai te manger ».Alors il se mit en route pour le Nord, tandis qu’aux Sud, Otylan continue, à chercher de la nourriture, et se met en chemin pour  aller chez elle. Une fois arrivée elle demande à son petit fils si l’ogre était revenu, et Yoyo répondit par l’affirmative. Et elle lui dit de recommencer à mentir à l’ogre pour le lendemain. L’ogre revint et c’est alors que la catastrophe arriva. Yoyo se trompa et dit à l’ogre l’endroit exact où se trouvait sa grand-mère. Catastrophe ! Alors l’ogre se mit en route vers l’endroit précis indiqué par Yoyo. Quand il arriva là-bas il a vu la grand-mère qui était entrain de pécher, mais heureusement que Otylan le vit tout de suite. Elle ne sait plus quoi faire du tout. Elle regarde son gros sac, et elle renverse toute la nourriture de son sac afin de se mettre à l’intérieur. Quand l’ogre alla la rejoindre pour la manger elle avait disparu. Il prit le sac qui était vraiment très lourd, et il se mit en route pour aller chez lui dans la grande forêt. En marchant sur la route, soudain il eut envie d’aller au petit coin, Alors il laisse le sac et alla très loin, pour faire ses besoins. A ce moment là Otylan se précipite durant l’absence de l’ogre et se sauva sans se retourner, tandis que l’ogre qui avait finit retourna chercher son sac. Quand il arriva le sac était entrouvert et vide, alors il comprit que c’était la grand-mère. Et tout de suite il se précipite pour aller voir Otylan et Yoyo. Quand il arrive les deux étaient entrain de faire du feu, et l’ogre dit « Otylan descends si tu ne veux pas que je te mange ». Otylan refusa, Alors l’ogre grimpa sur l’arbre et la vieille renversa de l’huile tout le long du tronc. L’ogre glissa, et dit : « Si vous ne voulez pas alors, donnez- moi au moins à manger ». Et elle dit à l’ogre de bien ouvrir sa bouche, elle lança le gros caillou très chaud, et il avala directement le caillou très chaud.  Il se sentit très mal. Il tomba et mourut, A partir de ce jour là toutes les personnes âgées étaient soulagées, et tranquilles, grâce à Otylan, Et ils vécurent très heureux dans leur immense forêt.

Rose

 

Seul

Un petit garçon aux yeux bleus, pas très grand, aux cheveux blonds et âgés de 15 ans, était tout seul sa chambre. Il regardait son plafond, et les quatre coins du mur de sa chambre. Comme il était timide il ne sortait jamais de sa chambre, il pensait qu’il aurait tant aimé avoir des frères et des sœurs chez lui mais il était tellement seul. Ses parents Karla et Jules Bélier ne s’occupaient pas de leurs fils Martin, Martin Bélier. Martin se sentait rejeté par ses parents, il passait la plupart de son temps dans sa chambre seul. Il avait grandi avec ce sentiment de rejet. Un jour, lors de ses 16ans Martin décida de s’enfuir loin, très loin de chez lui. Il arriva dans un village qu’on appelle « le village des sages » et il courut voir un vieil homme connu dans la région et lui dit :

« _ Aidez moi, je n’ai pas de maison ni de parents »

Le vieil homme lui répondit en se présentant

« _ Ok ! Moi c’est Henri, Henri Skoot et je vais t’aider »

Martin grandit avec Henri.

Pour remercier le vieil homme, Martin travailla pour lui dans son champ de maïs. Henri était comme un deuxième père pour lui. Henri vieillissait de jour en jour, il ne pouvait plus travailler et comptait sur Martin pour nourrir sa petite famille. Un jour, pendant l’anniversaire d’Henri, Martin décida de le fêter avec tout les villageois. Il allait ainsi avoir ses 72 ans. Peu de temps après son anniversaire Henri tomba très malade. Martin arrêta de travailler et s’occupa de lui qui était souffrant et qui ne pouvait plus marcher. Une semaine plus tard Henri avait un pied dans la tombe, effrayé Martin courut voir un médecin et lui dit :

« _ Martin, on ne peut plus rien faire pour lui. »

« _ Mais pourquoi ? » répondit Martin.

« _ Parce qu’il est vieux et les médicaments ne servent plus a rien. »

Le médecin rentra chez lui. Quatre jours passèrent et Henri mourut. Martin désespéré par la mort d’Henri,  ne voulait plus rien faire dans le village qu’il aimait tant. Il retourna chez lui en regardant les quatre coins du mur de son ancienne chambre. Il était de nouveau seul et la vie ne valait plus d’être vécue.

Patricia

 

Un  jour de ouf

17 Aout 2015, je fête  mon 16ème   anniversaire  chez moi. J’ai invité tous mes amis  de la classe de seconde, mes amies d’enfance et ma famille. C’était trop net, il y avait de la  musique, de l’ambiance, de tout. Je me suis bien amusée avec tous mes amis … ils étaient tous saouls, Yanette, Patricia, Rosyane, Lucie, Adeline, Océane, et Rose. Elles dansaient sur la piste, toute la bande s’éclatait. Alexia, Erkale, Guillaume, Marie-Thérèse Henri, Steven, Eliott, Erwin,  Camille,  eux, ils étaient entrain de fumer un gros joint. Je me sentais heureuse jusqu’à que je voie ma mère et mon père monter dans la voiture pour suivre le SAMU garé juste devant. Je courus vite, mais trop tard : ils étaient partis .Je courus dans la maison pour téléphoner. Mon père n’avait pas pris sont son mob avec lui. Puis j’appelai ma mère qui  elle était sur le répondeur. Ma sœur elle avait éteint son mob. Je me demandais alors où ils étaient allés, sûrement a l’hôpital vu qu’ils étaient entrain de suivre le SAMU. Puis je descendis voir mes invités, tout allait très bien .A 00H45 ma mère m’appelle sur mon tel

Moi : allo

Ma mère pleurait

Je lui demande ce qu’il se passe mais elle reste silencieuse et je commence à m’inquiéter. Je lui demande où est mon père et elle me dit avec une voix toute tremblante  qu’ils étaient à l’hôpital  et que ma sœur avait un truc. Je commençais à avoir des larmes aux yeux

Moi : mère que se passe- t-il ?

Elle : ta sœur, elle a accouché c’est un petit garçon

J’étais à la foi heureuse et j’avais  peur de plus jamais la voir, puis je lui ai raccroché au nez et j’ai annoncé  à tous mes invités qu’a partir d’aujourd’hui, moi et mon neveu,  allions fêter notre anniversaire ensemble.

Marguerite

 

Amour rebelle

C’était il y a 2 mois de  ça, Alice, jeune fille de 14 ans vivait avec son père dans un paisible quartier de Lyon. Elle avait perdu sa mère à l’âge de 6 ans et la douleur était toujours forte. Pour s’occuper d’elle, son père avait dû sacrifier son travail. Tous  les jours, elle se rendait à l’école en prenant le métro. Mais un jour qu’elle  revenait chez elle, elle bouscula sans faire exprès un jeune homme qui passait par là. Elle fit tomber la mallette  qu’il avait dans les mains. Tout de suite elle s’agenouilla et ramassa la mallette en lui demandant pardon. Le jeune homme accepta ses excuses en l’invitant à boire un café. Elle accepta. Ils restèrent à parler, faire connaissance, rigolé … Alice en regardant sa montre, réalisa qu’il était déjà tard et dit au jeune homme qu’elle allait rentrer chez elle. Ils se séparèrent. Le jeune homme ne cessait de penser à elle et elle de même. Tous les après-midis quand elle rentrait chez elle les deux se voyaient dans le même café. A un moment son père fut très inquiet et interdit à sa fille de trainer et lui dit de vite rentrer à la maison. Le jeune homme avait une vingtaine d’années, il était grand aux yeux marrons. Ils avait tout d’un homme parfait. Les deux jeunes amis qui ne cessaient de se voir étaient déjà devenus un couple, ils commençaient à se rapprocher de plus en plus. Le père qui était devenu de plus en plus inquiet pour sa fille lui avait interdit toute sortie. Mais elle qui est devenu folle de son compagnon fugua pour aller le retrouver . Le père tellement furieux du fait que sa fille lui avait désobéi alla à sa recherche. Il était devenu fou à l’idée de la perdre. Il ne voulait pas la laisser partir comme sa mère. Peu après il la trouva dans un parc dans les bras du jeune homme. Très furieux, il se jeta sur le jeune homme et le battit. Alice avait beau crier, en vain. Elle prit aussitôt un gros caillou et lança sur son père. Son père mourut d’un coup. Elle venait de sacrifier son père par amour.

Lucie

 

La Drogue

Odile une fille de 18 ans, la peau blanche des yeux bleu, des cheveux lises, très longs .C’était une fille mince et élancée, son frère s’appelait Edmond. Il avait 1ans, des yeux gris des cheveux bouclés. Ils avaient perdu leur parent dans un accident de voiture. Un jour Odile décida d’aller faire un tour sur la tombe de ses parent pour y mettre des fleurs et laissa son petit frère chez la nounou. En retournant chez elle, elle croisa sur le chemin un vieux pépé qui marchait le dos courbé. Elle s’arrêta et lui questionnait:

« _ Bonjour, mon vieux pépé où allez-vous donc ?

_  Je vais faire un tour sur la tombe de mon fils qui est mort dans un accident de voiture avec sa femme. » Lui répondit-il avec tristesse.

Odile rentra chez-elle, et de demanda qui était vraiment ce vieux pépé qu’elle avait trouvé sur son chemin. Elle s’assit confortablement sur le canapé, et tout à coup, surprise ! Quelqu’un  venait de sonner à la porte. Elle ouvrit et c’était le vieux pépé. Elle lui dit de s’asseoir le temps qu’elle prépare le café. Le café fut servi et on se mit à discuté. Odile lui questionnait:

« _ Mon pépé, comment s’appelait votre fils qui a eu un accident de voiture ?

_ Il s’appelait Franck et sa femme Gislaine »Lui répondit-il.

Elle attrapa la main du pépé et lui disait avec joie, et les larmes aux yeux.

« _ Mon pépé vous êtes mon grand-père. »

Le vieux pépé heureux d’entendre  qu’elle était sa petite fille, la questionna :

« _ Ma fille tu as un frère ou une sœur ?

_ Elle répondit :

_ Oui, j’ai un petit frère, il s’appelle Edmond, et il a 1ans. »

Odile et son pépé sortirent, prirent la voiture et partirent récupérer Edmond chez sa nounou. En arrivant la- bas, Odile frappa à la porte, mais personne n’ouvrait. Elle sortit le téléphone de son sac et tapa le numéro de la nounou .Elle lui demanda :

« Allo bonsoir, où es-tu, je suis devant chez toi et il n’y a personne qui ouvre la porte,

_ La nounou lui disait :

_ Bonsoir Odile excuse moi de ne pas t’appeler, mais la nous sommes à l’hôpital, viens je vais tous t’expliquer. »

Odile prit la main de son grand-père, ils montèrent dans la voiture et partirent à l’hôpital. En arrivant à l’hôpital, Odile partit voir la nounou de son petit frère et lui demanda ce qui s’était passé. La nounou lui dit assieds-toi, je vais tous t’expliquer .Odile s’assit et la nounou lui expliqua tout. Cela s’était passée,  quand  j’étais dans la cuisine et lui dans le salon et voulais tellement boire. Quand  j’étais partit le voir dans le salon, Il était par terre et n’arrivait plus à respirer, et le verre de lait était vide. Odile se mit ta pleurer et lui questionna :

« Qu’as-tu mis dans son verre de lait ?

_ Elle répondit :

Je ne suis rien mis, il y avait juste que du lait. »

Elle partit dans la chambre d’Edmond son petit frère, il le serra contre elle et pleura. Le médecin vint et leur dit,

« Qu’Edmond a été drogué

_ La nounou dit :

Mais il n’y a pas de drogue chez moi. »

Odile leva la tête, et demanda à la nounou

«  Ou-était son fils au moment où Edmond avait été drogué. »

La nounou comprit ainsi que c’était sûrement son fils qui avait drogué Edmond. La nounou rentra chez elle, et trouva son fils endormi dans le salon. Elle le réveilla et lui demanda s’il avait drogué ce petit. Son fils, lui répondit :

«  Qu’il avait drogué, car il na l’aimait pas et il voulait le tuer. »

La nounou appela la police et leur expliqua tout. La police arriva et embarqua l’infanticide.

Alexia

 

L’enfant prodige

Ce beau garçon se nommait Jules, il vivait avec son grand père car il n’avait pas de parents. Un beau jour son grand père mourut. Quel problème, Jules n’avait plus rien ! Il dormit dans la rue, il mangeait peu,  et dépensa le peu d’argent qui lui restait de son grand père. Un soir il entendit quelqu’un qui jouait  de la guitare sous un arbre c’était un orphelin qui cherchait un peu d’argent pour nourrir ses amis qui étaient dans la même situation que lui. Les deux gamins se rencontrèrent est allèrent dans une cabane où habitait un homme méchant et dangereux qui les maltraitait. Jules lui, avait un don pour la musique. Il jouait comme personne. Un  matin comme tous les autres, il alla en ville pour chercher un peu d’argent avec dans la main une guitare. Soudain un homme arriva et lui dit :

« Magnifique instrument est surtout  jolie mélodie ! »

Et il demanda : « veux-tu t’inscrire au concert de demain soir pour montrer ton joli talent ? » Le jeune garçon hésita car il fallait d’abord la permission de l’homme de la maison pour demander l’instrument. Et il accepta quand même. Il rentra chez lui et demanda à son maitre s’il pourrait participer au concert. L’homme refusa car c’était ce gamin là qui ramenait beaucoup d’argent à la famille de l’orphelin. Le soir venu jules s’échappa avec la guitare   accompagné de l’un de ses camarades au concert. Au bout de quelques minutes l’homme vit que les deux gamins étaient partis, alors il ne perdit pas de temps à les rechercher.  L’homme réfléchit quelques minutes car pour aller au concert il était obligé de passer par le train. Quand il arriva au train il vit les deux gamins. Bousculé par la foule de gens qui allaient au concert, Jules se retourna et vit l’homme. Il passa la guitare à son ami et il se sauva en criant :

« Le voilà  montons vite dans le train ! »

Son camarade le suivit mais le maitre ne s’occupait pas de lui, il s’occupait de Jules. Arrivé à la porte du train, il tomba et au moment où il allait se relever l’homme l’attrapa et le tira vers lui avec une extrême violence. Il lui criait dessus, c’était horrible pour le gamin et c’est là que son camarade brisa la guitare sur la tête de l’homme. Il tomba et lâcha Jules, quelques secondes après l’homme mourut et Jules alla au concert où il deviendrait célèbre les jours suivants.

Kamille

 

Les pêcheurs fantômes

Auparavant vivaient quatre pêcheurs fantômes, toutes les nuits ils descendaient à la mer pour pêcher des poissons .Ils ne pêchaient  que la nuit car s’ils voyaient un seule rayon de soleil, ils perdaient la vie. Tout allait bien jusqu’au jour où il y eut un gros problème pour nos quatre pêcheurs. En effet, ils se préparèrent  comme d’habitude, mais en chemin un cinquième fantôme  intégra le groupe. Ils montèrent dans  l’embarcation  quand soudain le bateau se mit à bouger dans tous les sens, mais nos quatre pêcheurs ne remarquèrent toujours rien. En avançant avec l’embarcation, les pêcheurs remarquèrent que le bateau était un peu chargé. Alors le plus vieux dit aux jeunes :

-« Qu’est- ce qu’il y a, pourquoi le bateau nous fait-il ça ? »

Un des plus jeunes lui répondit :

-« Ah ! C’est sûrement parce que ce bateau commence à nous lâcher, il commence à vieillir car cela fait des années qu’il nous emmène en mer. »

Le vieillard leurs dit alors :

-« Bon puisque c’est comme ça, nous n’allons pas aller au grand bleu, nous allons pêcher près du récif ».

Alors ils descendirent près du récif. Chacun savait ce qu’il avait à faire mais pas l’intrus. Soudain, le plus jeune des fantômes s’étonna des poissons qu’ils avaient pêchés car il y en avait de plus en plus. Le vieux répliqua donc :

« Allez mes petits fantômes, le bon seigneur est entrain de nous gâter avec ces délicieux poissons, pêchez en le plus que vous pouvez.»

Les jeunes fantômes, en entendant l’aîné, se motivent et vont pêcher.

Mais comme on dit, ils avaient les yeux plus gros que le bateau, ils pêchaient mais ne s’apercevaient pas que l’embarcation était encore plus chargée. Le temps qu’ils pêchent les derniers poissons, qu’après ils remontent l’ancre, et qu’ensuite ils rentrent encore avec le bateau, que  le jour commençait à se lever. Comme l’embarcation était trop chargée, elle avait du mal à avancer. Arrivés, sur la plage de Bako il était trop tard pour nos quatre fantômes car ils avaient perdu beaucoup de temps, les premiers rayons de soleil étaient au rendez-vous. Malheureusement pour nos quatre fantômes c’était la fin. Quant à l’intrus pour lui c’était la fiesta, car lui n’était pas un fantôme mais juste un humain qui profitait de la situation pour hériter des poissons de nos quatre pêcheurs !

Océane

 

L’espion    

Gysh était un garçon très curieux, musclé, et  il étonnait les gens avec sa petite taille. Un jour, alors qu’il était  en cours à Do kamo, il fut surpris : un nouvel élève venait de rentrer, et il était vraiment spécial : il était très grand, maigre et  habillé bourgeoisement. Il avait des cheveux très courts, ses  yeux étaient  tirés, il était Chinois. Quand il ent

ra, Mme Lénék, la prof principale, fut surprise à son tour.

Elle dit alors :

«_ Bonjour ! Monsieur vous devez être le nouveau, asseyez  vous donc. »

Le nouveau s’assit devant Atto et baissa la tête, il semblait très timide.

La prof l’interrogea alors :

« _ Comment t’appelles tu ? »

Le nouvel élève leva la tête et lui répondit :

« _ Je m’appelé Nib naouy Irochamatou. »

La prof surprise, dit à  Nib de s’asseoir à coté de Ilaw.

Ils continuèrent à discuter après  la cour, Ilaw interrogea plusieurs fois Nib, mais il ne parlait pas beaucoup, Il disait qu’il ne savait pas bien parler le Français. Trois semaines plus tard, un vendredi,  Enji  trouva un drôle de téléphone blanc, tactile, d’une marque inconnue. Au dessus de l’écran était inscrit  «  Anich ». Drôle de marque  pour un, téléphone. Quand Enji alla aux toilettes, il s’enferma et l’alluma. Il vit quelque chose de bizarre, ce téléphone semblait être celui d’un espion car quand il lut les messages, cela parlait d’attaque, de meurtres. Enji, très surpris, s’en  alla à toute vitesse à l’internat pour prévenir Gysh. Quand il arriva, il lui montra  le téléphone et tous les messages. Gysh, très étonné, lui dit alors :

« _ N’en parles à personne nous allons mener notre enquête. »

Enji lui répondit :

« _ D’accord mais faisons très attention ! »

Ils cachèrent alors le téléphone dans leur chambre à l’internat. Après s’être baignés, ils s’en allèrent dormir dans leur chambre. Ce soir là tout le monde dormait, mais vers 1 heure du matin, Gysh se leva par hasard et regarda par la fenêtre, là il vit au loin un homme grand, maigre, et armé d’un Katana et d’une hache de 40 cm à peu prés. Il eut peur et se cacha prés du rideau, l’homme semblait attendre quelque chose dans le noir. A ce moment là un homme  rentrait cher lui, mais l’inconnu armé sortit du noir et  le tua sans pitié avant de le découper en morceaux. Gysh, envahi par la peur, réveilla  Enji.  Il était terrorisé. Le lendemain en cours ils découvrirent que l’homme qui était mort était en fait le président de la Province Sud. Enji dit alors à Gysh :

« _ Tu vois c’était écrit aussi cela dans les messages ! »

Le soir, Enji se réveilla et alla aux toilettes. Il vit Nib avec une hache en face de lui :

« _C’est toi qui a pris mon téléphone ! »

Terrorisé  Enji  courut et sauta par la fenêtre. Il prit des pierres, et caillassa le chinois,  ce dernier prit la fuite. Choqué,  Enji réveilla Gysh  il lui dit alors :

« _ Gysh, Gysh, réveille toi  donc !!! »

Gysh se, réveilla, et Enji lui dit :

« _ Oh merde c’est lui,  c’est Nib le tueur,  il vient d’essayer de me tuer !! »

Gysh s’surpris lui répondit :

« _ Je le savais les chinois vont essayer de nous envahir ! »

Les deux amis prévinrent la police  et leurs camarades. Nib fut recherché partout par la police, mais à ce moment là Gysh était seul dehors. Là il reçut une balle de fusil à pompe  dans la tête. Gysh tomba par terre et mourut. Mais à ce moment là Enji était derrière Nib, il lui planta un poignard dans le dos. Et  celui-ci tomba. Enji prit le fusil à pompe, et explosa la tête  de Nib. La police arriva 2 minutes plus tard, et jeta le corps de Nib à la mer, où il fut dévoré par des requins.

Steeven

 

L’héritage corrompu

Le couple vivait en banlieue parisienne, Jeanne était mariée à Marc. Jeanne était la fille unique du Ministre de la défense  et donc elle était toujours gâtée par son père. Ils avaient une villa au sud de la France, pour y passer des vacances d’été. A la mort du ministre en 6 Juin 1969, Jeanne hérita de  l’argent de son père. Mais l’adjoint du ministre, qui était complice avec le mari de Jeanne (Marc), avait élaboré un plan pour kidnapper Jeanne afin de prendre tout l’argent dont elle a hérité de son père. Le soir même Jeanne avait invité Marc pour une soirée en tête à tête dans un  restaurant très chic à Paris. Elle avait besoin d’un dîner pour se remettre sur les rails après la mort de son père. L’adjoint du Ministre avait lancé un appel mystère à Jeanne.

Celle–ci répondit : « Qui est à l’appareil ??? » Personne au bout du fil, elle répéta « Qui est à l’appareil ??? » Mais toujours personne au bout du fil, elle raccrocha. Marc savait déjà que c’était le moment tant attendu, donc il demanda s’il pouvait passer un coup de fil. Pendant ce temps là Jeanne à son tour avait reçu un message : « Rejoins- moi à l’entrepôt » Elle pensa que c’était un message de détresse, elle prit les clés elle monta dans sa voiture et elle fila à toute allure vers l’entrepôt. Arrivée sur les lieux, elle fut choquée de  voir son mari, qui l’attrapa et l’attacha. La femme était traumatisée à l’idée de voir son mari la piéger.  Son mari était là avec deux hommes blancs. Ils la dépouillèrent et  prirent  tout son argent et la tuèrent  à coups de pelle dans le crâne.  Une semaine après la disparition de Jeanne, la police a mené une enquête et a trouvé des empreintes de Marc sur la pelle découverte sur les lieux du crime. On tenait donc le coupable !!!!!

Erwin

 

L’Homme serpent

Il était une fois, dans une forêt lointaine, vivait un jeune homme-serpent. Dans cette forêt, il régnait une sorte d’atmosphère magique comme enfoncée dans le sol, cette soi-disant forêt « normale » comme toutes les forêts, était en fait hostile aux humains. Dans cette magnifique forêt habitait aussi un nécromancien accompagné de quelques uns de ses semblables. Il utilisait une magie noire pour détruire la forêt afin de régner un jour sur des terres vierges et propres. Les habitants aux alentours savaient qu’il y avait un risque de perdre à  jamais leurs maisons, leurs amis et leurs familles. L’ambiance était tendue. Dans la forêt notre jeune homme-serpent décida de mener une guerre contre le magicien. Il s’exclama haut et fort, s’adressant aux habitants : « Mes frères, voulez vous continuer à vivre dans la peur ? » Les habitants répondirent : « Non serpent ! » « Alors réagissez et allons mener notre combat jusqu’au bout afin que chacun vive heureux sans être menacé par le nécromancien ! »  Alors que les deux patries se font face, le nécromancien dit : «  Toi le chef, prends garde ! Renonce à tes rêves et à tes ambitions ! Tu perdras cette guerre ainsi que tes proches ! »   L’homme- serpent : « Regarde nos yeux et que vois-tu, Nécromancien? ». « Je vois la peur… » L’homme serpent : « Ou plutôt la rage de vaincre. » Alors que la bataille commence les habitants souffrent et manquent d’effectifs, ils battent en retraite. L’adversaire gagne du terrain et les repousse jusque aux limites de la forêt. Le serpent crie : « N’abandonnons pas. » Alors, se concentrant de toutes ses forces il appela les esprits de la forêt. Miracle !! Les arbres et les roches arrivent derrière les brigands et les encerclent jusqu’à les détruire par la force et la volonté de tous. L’homme-serpent déclara : « Nous pourrons enfin vivre sans toi et je pense que tu es bien puni, tu le mérites. » Le magicien fut chassé de la forêt et ses habitants vécurent heureux à côté d’elle.

Yuan-bin

 

Miracle des siamoise

Lucie et Katie étaient deux sœurs siamoises âgées de 17 ans. C’était de belles blondes, avec des yeux bleus marine. Elles étaient heureuses, elles ne se plaignaient pas leur vie. Le jour de leurs 18 ans, leurs amies les invitèrent à fêter leurs anniversaires en boîte de nuit. Toutes contentes elles se préparèrent et rejoignirent leurs amies en boîte et commencèrent à boire du Whisky, la fête battait son plein. A 3h du matin, la petite bonde décida de sortir afin de rentrer chez eux. Lucie et Katie chantaient à tué tête dans la voiture quand tous a coup Lucie perdit le contrôle de son véhicule. Celui-ci alla s’encastrer dans la rambarde d’un pont. Hélas, elles n’avaient pas pensé à mettre leur ceinture de sécurité et furent éjectées à quelque mètre de la carcasse de la Ford en feu. Deux heurs après un couple s’arrêtèrent devant les corps abîmés des deux sœurs. Prit de panique le couple de caldoches appela immédiatement le Samu. Les blessés furent évacués sur Nouméa. Arrivées à Gaston Bouret, les infirmières les transportèrent dans une chambre de réanimation.  Le docteur Travers appela les parents des deux filles et leur expliqua ce qui s’était passé. Les parents, très inquiets, ils prirent la voiture à toute de vitesse pour se rendre à l’Hôpital. Ils arrivèrent à l’accueil et demandèrent de voire le docteur car c’était une urgence. Le docteur sortit de la chambre des deux filles, tourna la tête et vus deux quinquagénaires stressés devant l’accueille. La mère très effondrée n’arrivait plus à tenir sur ses jambes elle tremblait des mains, le père essayait de tenir le coup mais les larmes perlaient à ses paupières. Le docteur les amena dans la chambre des filles. La maman, très impatiente de voir ses filles se mit à crier quand elle les aperçut. Jour et nuit le couple pria de tout leur amour pour que les jeunes filles s’en sortent saines et sauves. Deux jours après vers 2 heurs de l’après midi, les parent reçurent un message indiquent que les jeunes filles étaient tombées dans le coma profond. Le couple chercha partout le docteur Travers. Au loin du couloir ils aperçurent un vieillard en blouse blanche. Le docteur se tourna et se trouva nez à nez avec les parents. Le docteur amena le couple dans la cafétéria et parla de la situation des filles. La mère tomba dans les pommes, le père très surpris se mit à prendre un torchon mouillé et le mit sur le front de sa très chère épouse. Marie-Thérèse se réveilla demanda si elle pouvait voir Katie et Lucie. Le docteur répondit qu’il ne pouvait les faire rentrés dans la chambre des filles. Très désespérées les parent demandèrent quand ils pourraient revoir leurs filles. Le docteur répondit qu’il allait envoyer un message ou appeler pour revenir. Les parents repartirent sur Dumbéa sur mer. Deux semaines après, à 22 heures, le docteur Travers appela pour dire qu’il fallait débrancher les filles car elles ne sortiraient jamais du coma. Les parent se mirent a pleurer au téléphone et demandèrent s’ils pouvaient aller leur dire a dieu avant de les débrancher. Le docteur dit que de toute façon il fallait qu’ils reviennent à l’hôpital. A 11h30 les parents attendaient déjà dans la salle d’attente. Le docteur très triste leurs demanda s’ils étaient d’accort pour que les filles puissent faire don de certain de leurs organes. Le père répondit que si cela sauvait des gens, ils étaient d’accord. Ils se rendirent dans la chambre de Katie et Lucie afin de rendre un dernier hommage. Dans l’après midi l’équipe chirurchicale se préparait à prélever les organes quand tout à coup les deux sœurs se réveillèrent en même temps. Le docteur sidère, prévint les parents au téléphone. Ils arrivèrent à l’hôpital où le docteur expliqua qu’elles pourraient sortir dans une semaine. Plus tard les parents sautèrent de joie et remercièrent dieu pour avoir écouter leur prière. Les filles sortirent de l’hôpital remercièrent le docteur. Elles étaient des miraculées.

Adeline

 

Une vie incroyable

Slem Makizard, était une pauvre femme qui avait 32 ans. Son mari l’avait abandonnée il y avait deux semaines déjà .Si belle pourtant, si gentille et courageuse, Slem ne laissait jamais rien tomber. Depuis que son mari l’avait quittée, elle n’avait plus la force d’aller à son travail, ni même de se promener dans la ville, ni même de rendre visite à ses amies. Mais ce qui lui donnait un peu d’espoir et de bonheur, c’était sa petite fille bien aimée qui lui ressemblait vraiment ; C’était « Princesse », une belle et tendre fille qui n’avait que 1 an. À chaque fois, que Slem pensait à  son mari il lui suffisait tout simplement de regarder Princesse. Comme elle n’avait pas suffisamment les moyens d’élever seule sa fille, elle se décida un beau jour de laisser sa petite fille dans un orphelinat.

Le lendemain dés l’aube, Slem se leva très tôt pour se préparer, Princesse était encore endormie. La pauvre mère prit le berceau, ainsi que les bagages de sa fille. Puis  elle se dirigea  vers  la place des taxis. Quand elles y arrivèrent, Slem observa longtemps un couple qui semblait heureux. Elle avait les larmes aux yeux. En voyant ce couple heureux elle pensait toujours aux moments passés avec son mari. Slem embrassa très fort sa fille qui se mettait à pleurnicher. Et voici q’ arrive un taxi. Le conducteur les regarda et leur demanda.

– Excusez- moi madame, où allez-vous ? Elle répondit

– Monsieur, pouvez-vous me conduire à l’orphelinat Hanyié qui est à  20 km d’ici s’il vous plait.

– Bon d’accord, ça vous fera 6000 Fr. Slem lui donna la monnaie.

 

Durant le trajet, Slem n’était pas dans son état normal. Elle pleura tout au long du parcours. Quand elles arrivèrent prés de l’orphelinat, elle descendit avec Princesse  qui était toujours endormie. Slem la regarda avec un air triste, toujours avec les larmes aux yeux. Tout d’un coup, une idée lui vint à l’esprit. C’est-à-dire de continuer son activité  de coiffeuse et d’élever  seule sa fille. Donc elles se rendirent avec sa fille a l’église qui se tenait juste en face pour pouvoir se prosterner et demander de l’aide a Dieu. Devant l’église, un homme se tenait debout devant les marches des escaliers de l’église Il les fixait du coin de l’œil depuis leur arrivée Cet homme la, c’était le fils unique du pasteur Dominique. Il avait des cheveux roux, la peau blanche, les yeux bleus et un corps robuste. Slem s’avança vers la porte et tout d’un coup, elle   glissa. Mathieu qui les regardait attentivement depuis un quart d’heure  se précipita pour rattraper le berceau de la petite Princesse qui pleurait. Soulagée, Slem voulut lui donner del’argent mais il refusa. C’est alors que le jeune homme qui s’appelait Mathieu les invita à prendre le petit  déjeuner   chez lui. Mathieu demanda la main de Slem ainsi que  l’autorisation d’adopter  la petite et ils vécurent heureux et eurent d’autres enfants.

Slem

 

Steven

Je me réveillai dans le noir, j’aimais cela car j’étais seul, pas un bruit ne venait me déranger, j’étais au chaud et à l’abri. Tout à coup il y eut un bruit et je me sentis aspirer. Je fermai les yeux et je sentis un courant d’air. Alors j’ouvris les yeux, la lumière était si forte que j’étais ébloui, je vis la silhouette d’une femme qui disait d’un air joyeux : « C’est un garçon ». Je ne savais pas ce qui se passait elle me mit dans les bras d’une dame qui dit : « Je voulais d’une fille et non pas d’un morveux ». La dame en blanc énervé dit : « Ce n’est pas a vous de choisir si ce sera une fille ou un garçon, vous été obliger de le garder ». 5 jour passèrent nous étions dans une voiture avec un homme qui arrêta la voiture et dit a la femme qui me portait : «Pose le au bord de la route ».Elle s’exécuta, elle me déposa au bord de la route, je pleurais pour que quelqu’un me voie. Tout a coup une voiture s’arrêta, un homme appela une femme et dit : « Lucy regarde il y a un bébé ». La femme regarda l’homme et dit : « Henry on ne va pas laisser ce bébé au bord de la route ». Ils se regardèrent un bon moment et me prirent. La voiture s’arrêta, je vis devant moi une grande maison. Alors je sus que Henry et Lucy venaient d’une grande famille d’aristocrates. Ils dirent d’un ton joyeux : « On va t’appeler Steven », Henry dit : « Steven cette maison est à toi ». Moi qui ne comprenais rien, me mis à pleurer, Lucy alla vers la maison et dit a Henry : « Je vais aller baigner le bébé ». Le lendemain matin j’avais tellement faim que je me mis à crier et Henry me porta et me donna le biberon. Quand ils partirent, il me laissa avec une femme qui s’appelait Yanette. Lucy dit à Henry : «  C’est la nounou à Steven », alors je m’endormis. Et quelque chose arriva, j’entendis une sonnerie qui retentissait, j’entendis un bruit de chaises et de tables qu’on était en train de bouger. Je crus alors qu’il y avait un tremblement de terre et tout à coup il y eut un silence. Tout devint noir, alors j’ouvris les yeux et vis la prof d’histoire, elle me dit : « Steven réveille toi ça vient de sonner ». Je me rendis compte que j’avais fait un rêve et je partis en cours de français en espérant ne pas m’endormir de nouveau.

Guillaume

 

Un meurtre au Lycée

Rosemonde était élève dans un lycée de la capitale.

Alors qu’elle était restée en étude pour terminer ses devoirs, George était allé faire des photocopies pour la jeune fille. Dans la salle 35 au fond du couloir, Rosemonde sentait qu’elle n’était pas toute seule, cette jeune fille aux yeux marron noisette, timide, se leva de sa chaise et chuchota :

-« Suis-je la seule dans cette salle ? »

Tout d’un coup un vent froid lui caressa le dos, elle se retourna et vit la porte se refermer toute seule. Rosemonde paniqua et courut vers sa chaise. Tout à coup elle entendit des cris de détresse dans la salle des profs à l’autre bout du couloir.

Elle courut vers la salle, ouvrit la porte et vit son fidèle surveillant George pendu au plafond avec un poignard planté dans le dos. Rosemonde cria et pleura :

-« Au secours. A l’aide… »

Quand elle se retourna, elle vit  une ombre se déplacer à la vitesse de la lumière, elle comprit alors que c’était un meurtre !

Dix minutes plus tard les secours, la police et le détective Arnold arrivèrent, la jeune fille était là assise, les yeux en larmes et sans paroles. Le détective s’approcha de Rosemonde et lui dit :

-« Ma belle sèche tes larmes et raconte moi tout du début jusqu’à la fin, dans les moindres détails ! »

La jeune fille leva la tête et regarda le détective d’un aire absolument terrorisé, et lui répondit :

-« Il est encore là ! »

-« Qui donc ? »

-« L’assassin ! » lui répondit la jeune fille.

Arnold se leva, prit la jeune fille avec lui et chuchota :

-« Viens ma belle, dans mon bureau nous serons plus en sécurité… »

Une fois dans le bureau du détective, celui-ci commença à questionner la jeune fille, mais hélas toutes ses questions avaient la même réponse  « Je n’ai rien vu ».

Le détective comprit alors que ce meurtre avait été programmé par quelqu’un qui connaissait bien les lieux.

Il demanda alors la liste de tous le personnel du Lycée, au Principal. Il resta pendant deux jours enfermé dans son bureau à étudier le caractère de chacun des membres du lycée.

Un matin, Rosemonde est venue frapper à la porte du détective pour l’avertir que le concierge du lycée avait une liaison avec la femme du pauvre George et que même avant sa mort ils se fréquentaient.

Quand celui-ci su la nouvelle il alla chez la veuve pour lui demander des explications à ce sujet. Arriver  au seuil de la maison il entendit une conversation entre la veuve et un homme il comprit alors que c’était la voix du concierge.

Il entendit le concierge dire à la veuve :

-« Si je l’ai fait c’était par amour, car je t’aime comme un fou ! »

La veuve lui répondit :

-« tu n’aurais pas du faire cela, c’est le père de mes enfants ! »

-« Bein! Si c’est le cas vas rejoindre ton mari, et emmène tes enfants avec toi »

Et là ! Le détective compris que le tueur était le concierge. Au moment où le concierge quitta la maison celui-ci rentra  à son tour dans la maison pour lui prévenir que son amant sera arrêté d’ici une demi-heure ; la veuve se mit à pleurée car elle sera arrêter elle aussi pour complicité. Les enfants furent emmener en famille d’accueil et les deux amants furent emprisonner.

Ceci n’était qu’un début pour ses deux là !

Yannette

 

Un week-end d’été

Un week-end d’été moi et mes amis nous sommes partis sur une p’tite île. Dès que nous sommes arrivés nous avons commencé à préparer notre campement.  J’ai dit à mon amie de m’accompagner pour aller chercher du bois. Erwin et Guillaume sont allés chercher du bois, quand tout à coup, Erwin découvrit un paysage magnifique, et il alla chercher Guillaume son ami pour lui montrer ce paysage impressionnant.  Ce paysage était une jungle qui avait même une cascade, des oiseaux qui volaient dans tous les sens, avec des animaux magnifiques qui n’étaient pas sauvages et le jeune Erwin découvrit une cabane perchée sur un arbre à environ 5 mètres du sol. Erwin dit à Guillaume d’aller voir ce qu’il y avait dans cette cabane. Guillaume n’était pas rassuré à l’idée de grimper dans celle-ci, mais comme il était courageux, il n’hésita pas à monter. Et quand il arriva dans la cabane il découvrit un monsieur allongé sur un lit en bois. Sans le faire exprès, Guillaume fit tomber sa lampe avec un énorme bruit qui réveilla ce monsieur. Quand celui-ci se réveilla il prit son arme, qui était une hache faite de pierre, et la pointa vers Guillaume. Celui-ci paniqua et dit au monsieur de lâcher son arme. Ce dernier qui se nommait Michel demanda à  Guillaume ce qu’il faisait dans sa cabane. Guillaume essaya de le lui expliquer. Il se présenta au monsieur et celui-ci posa son arme et se présenta aussi. Il disait qu’il s’appelait Michel et qu’il habitait avec ses frères et  étaient 7 en tout.  Quand Guillaume et Michel descendirent, les 6 frères de Michel capturèrent Erwin et ses 4 amis, Guillaume, paniqua et Michel essaya d’expliquer à Guillaume que c’était ses frères qui les avaient capturés et qu’ils n’étaient pas méchants. Cependant ils n’avaient pas l’habitude de recevoir des gens sur leur île. Mais Guillaume n’en fit qu’à sa tête et- Michel l’emmena là où ses frères les avaient capturés. Michel dit a Guillaume que cet endroit était à lui et à ses frères depuis leur enfance et c’est là qu’ils jouaient quand ils étaient encore des gamins. Guillaume demanda à Michel où étaient leurs parents. Michel répondit qu’ils avaient grandi seuls, qu’ils se débrouillaient seuls pour se nourrir. Comme il allait rentrer dans leur p’tite cachette Guillaume ne pouvait plus y pénétrer car il était trop gros et trop grand. Seul Erwin a réussi à rentrer car il était maigre et petit. Guillaume demanda à Michel où étaient ses autres amis. Michel dit à Guillaume que ses amis étaient dans la cabane de son frère, car sa cabane était plus grande et ils allèrent avec les deux frères de Michel. Les amis de Guillaume étaient étonnés de voir 7 nains rassemblés et Michel dit à ses frères de relâcher les amis de Guillaume. Et tout le monde retourna au campement avec un souvenir inoubliable. Oty, une amie de Guillaume et d’Erwin se disait que dès qu’elle arriverait au Lycée Do kamo, elle raconterait à tous ses amis ce week-end extraordinaire. Et ils finirent leur week-end en compagnie des sept nains dans cette p’tite île.

Henri

 

Une Top Model

Nathalie Dupont une jeune femme de 21 ans était mince, elle mesurait 1,70m. C’était une très belle femme elle avait tout pour plaire aux hommes. Elle vivait avec un chef d’entreprise Mr Martin Toutirion, un bourgeois de 36 ans qui ne pensait qu’au bien être de Nathalie. Cependant, ils ne s’étaient pas encore mariés. Pendant des jours Mr Toutirion lui réclamait le mariage mais elle disait qu’elle avait besoin de temps. Au fond d’elle sa réponse était « non » car elle savait qu’il était raciste, orgueilleux, rancunier. Des jours et des mois s’écoulèrent mais Mademoiselle Dupont restait sur sa réponse tandis que Mr Martin, obsédé par le mariage, passait des heures entières à organiser des soirées romantiques. Même, il avait commandé des bagues de fiançailles d’Espagne et d’Italie, mais malheureusement pour lui la réponse de sa bien aimée était claire et nette : « J’ai besoin de plus de temps ». Nathalie travaillait pour une organisation d’aide humanitaire, elle se mettait à fond dans son travail. Un matin en se levant Mr Martin n’avait pas l’humeur d’aller au travail. Alors il but un Arabica noir et bien corsé et il alla courir. En courant il vit un coin paisible près de la plage où il y a le vent qui frappe à toute allure. Donc il alla se reposer et aussi se changer les idées. A 4m de lui sur un autre banc, une très belle brune aux yeux verts qui elle aussi venait de courir, était en train de récupérer. Mais, tandis que lui la fixait tendrement, il la reconnut et il alla discuter avec elle et il lui dit « Par pur hasard vous ne seriez pas la célèbre Top Model que tout le monde voit dans les journaux ? ». La  jeune femme lui répondit d’un air honteux « oui ». Mr Martin avait un très grand charme, alors il charma la fille si bien qu’à la fin de la discussion elle lui donna son numéro. Mr Toutirion fou après cette conversation avec Mm Laurenne Bouchon décida d’éliminer Nathalie. Une nuit en se promenant avec elle, il lui fracassa la tête avec un gros bois et la jeta dans la Seine. Un docteur allant pécher au bord du fleuve, vit un corps flotter sur l’eau. Il le prit  et constata que la noyée était encore consciente, donc il la logea, nourrit, soigna. Pendant ces mois de convalescence elle vit à la télé la Top Model avec Mr Martin. Alors elle sut pourquoi il lui avait fait ça. Petit à petit elle tomba amoureuse de ce docteur Mr Paul Duvaire qui habitait seul dans une villa très isolée dans une forêt loin de la ville. Quand elle se remit sur pieds  elle décida de se venger. Alors elle demanda à Mr Duvaire de l’inscrire au concours de Top Model. Elle défila dans une robe avec des paillettes bleues et Mr Martin le reconnut. Stupéfait, il regretta amèrement ce qu’il avait fait, elle était très élégante, si bien qu’à la fin du concours elle remporta la première place devant Mm Laurenne Bouchon. Tout l’argent qu’elle avait gagné, elle le consacra entièrement à une aide humanitaire tandis qu’elle devint Mm Nathalie Duvaire. Alors les deux amoureux partirent en lune de miel à Venise, et ils eurent des enfants tandis que Mm Laurenne très fâchée par cette défaite quitta Mr Martin.

Eliott

3 réponses
  1. avatar
    Dario Burguière dit :

    Bravo à toutes et à tous, vous avez fait du beau travail. Félicitations à tous et continuez sur cette voie !

  2. avatar
    quesnel sophie dit :

    toutes mes félicitations pour ce beau travail. J’ai passé un très agréable moment à lire vos nouvelles.

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